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Phantomlørd D. Roki
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Message♠ En tuer un pour en terrifier un millier /w Castiel.     Sam 17 Jan - 20:17
Seul cette fois, ayant pris quelques jours avant la prochaine étape où il rejoindrait son capitaine et ami Feng, le sourd se trouvait au beau milieu d’une vaste peuplade hétéroclite. Le pas lourd et peu hardi, détonnant avec l’habituel parangon de déterminisme qu’il incarnait, il cherchait un établissement apte à se murger décemment sans grand résultat. La petite ville de l’île était d’une pauvreté étonnante, au point que même pour un pirate, séjourner quelques heures dans un de ces troquets minables lui semblait un compromis inacceptable. S’arrêtant donc dans une épicerie après avoir vagabondé dans les quelques allées valant le coup, il acheta avec quelques berry’s trainant dans le fond de ses poches une bouteille de bourbon bon marché qui ferait sûrement l’affaire à un vendeur visiblement immigré, le spadassin quitta l’établissement comme il l’avait trouvé. Il aurait très bien pu dévaliser l’endroit, mais son tempérament lui intima de rester discret, au moins pour l’instant. Il dût d’ailleurs s’y reprendre à plusieurs fois et même écrire ce qu’il désirait sur son calepin, le commerçant ayant du mal à comprendre son client singulier.

La bouteille ambrée à la main il avança donc vers un coin plus calme à l’abri des quidams et leurs gesticulations, le brouhaha n’étant pas un problème en soi pour le sourd de naissance. Toutefois le calme absolu n’était pas envisageable dans tel patelin et il quitta donc les enchevêtrements de pierre pour un lieu plus apte au loup solitaire qu’il était. L’île où il avait amarré son existence de nomade pour quelques jours ou heures selon son envie était surélevée au-dessus de la mer de plusieurs dizaines de mètres sur son côté le plus haut et c’est dans cette direction qu’il se dirigea.

Le chemin sinueux parut durer une éternité, le bretteur transitant au milieu d’une nature de plus en plus luxuriante, son chemin se détournant de ses pairs humains. Hannibal croisa quelques cabanes de trappeurs par-ci par-là sans y porter attention, ces dernières étant vides. Bien qu’il ne puisse entendre, son odorat et les vibrations de l’air suffisaient à parer aux angles morts, le Second des Burning avança donc serein. Qui viendrait chercher du trouble à un homme qui n’avait pas prononcé un mot, après tout ?

Arrivé à vue d’une falaise qui lui sembla propice à la méditation et l’isolement, la Lame Silencieuse choisissant donc un point précis pour s’installer. Après plusieurs mètres, ce fût à l’ombre d’un chêne centenaire dont les racines serpentaient le précipice qu’il jugea d’un regard appréciable pour la fin de son pèlerinage. Ce bois lui rappelait la forêt drue de Shabaondy où il avait séjourné enfant, témoin de sa première hécatombe, ses premières vies enlevées au fil tranchant de Shūsui. Il se rappelait de chacun de leur visage, de chaque goutte de sang s’échappant silencieusement des meurtrissures, de la haine l’animant lors de l’acte.

Son passé était la pierre angulaire de l’homme qu’il incarnait désormais et jamais il ne l’avait renié, chose qu’on aurait pu croire vu son application à le passer sous silence. Seulement, il avait la fâcheuse habitude de faire de même pour une grande majorité de choses, rendant ceci loin d’être étonnant. Homme de peu de foi, il s’arrogeait le droit de juger les autres et aucun à part des exceptions se chiffrant sur les doigts d’une main ne méritait pour lui d’en apprendre plus de sa bouche.

Désormais assit en seiza face au vide, à quelques mètres à peine, il fit sauter le bouchon de liège d’une pression sur le goulot et versa silencieusement une partie de cette dernière dans l’abîme le regard sur ses genoux avant d’en prendre une lampée. Un sourire nostalgique s’étirant sur ses lèvres rosées tandis qu’il en essuyait l’embrasure d’un revers de manche, Phantøm appréciant la saveur grâce à un sens du goût développé qui lui rappela celle de la liqueur partagée lors du serment désormais brisé porté à l’égard du vieux Déshonoré. Chez les pirates, on ne quittait pas si facilement son Capitaine et un jour il devrait face à cette promesse piétinée par ses idéaux. Toutefois, ne voyant pas de vieillard épéiste dans les parages, il continua son recueillement, aidé par l’alcool.

Face au vent, une main sur le fourreau de son Meitou et l’autre porteuse de son poison, le récipient eut été déjà vidé s’il n’était pas tant absorbé, l’imperturbabilité dont il fit preuve pendant ces minutes dépeignant un tableau austère et presque surnaturel. Ces moments étaient essentiels à son équilibre, son air se retrouvant souvent pollué de personnes le rendant irrespirable. Il semblait clair quand le flacon fut vide qu’il avait assez savouré ce moment, faisant craquer sa nuque en froissant le col de sa chemise blanc cassé du plat de sa main. Après avoir émis un bâillement insonore, il posa la bouteille vide sur le rebord le plus avancé et se leva agilement, alerte.

Dans l’air, il sentait l’effluve de la ville, celle des feuilles de ce chêne, mais son odorat lui fit vite comprendre qu’un de ses glands s’était décroché de son plumage et se promenait dans les environs. Comme un lévrier, il huma la brise d’un retroussement de narines, se demandant qui pourrait bien avoir un intérêt à s’aventurer sur des terres presque vierges. Debout dos à l’abysse et au fracas de l’océan contre elle, son regard jaugea les environs. Il n’allait pas tarder à retourner parmi ses semblables mais il sembla qu’un singulier individu s’approchait. Était-ce un simple paysan, ou plus que ça, il n’y accordait pour l’instant que peu d’attention.
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Castiel
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MessageRe: ♠ En tuer un pour en terrifier un millier /w Castiel.     Dim 18 Jan - 2:00
Je venais d’arriver sur une île assez spéciale. Sa forme, son environnement et ses nombreuses auberges ainsi que marchand en faisait une île plus que touristique. Pourtant, derrière tout ça se trouvait un vaste étendu désertique, parsemé de fleur par-ci par-là. Une aubaine pour moi qui voulait me reposer quelque temps avant de reprendre la route en direction de la dernière position connue de mon régiment. En effet, Célestiel m’avait convié à une réunion sur le bateau en sa compagnie et je ne devais rater ça pour rien au monde. Il me laissait beaucoup de liberté depuis un certain temps et je trouvais ça plutôt appréciable. C’est mieux de savoir que votre mentor vous fait confiance car le doute, dans des relations comme celles-ci, ne pouvait exister. C’est ainsi que je déambulais sur l’île en question. Son nom m’échappait complétement, on s’en foutait de toute manière. J’aimais bien l’atmosphère qu’elle dégageait. Ni trop chaleureuse, ni trop froide. C’était un mélange entre le noir et le blanc … C’était du gris.

Mon regard plongé dans le vide, je marchais en direction d’une échoppe histoire d’acheter quelque chose à manger. Ca faisait longtemps que je n’avais pas eu de quoi me remplir la panse, Car même si j’étais un de ses êtres divins ailés, j’avais, comme tout être vivant, besoin de manger. C’est ainsi que je fis une halte dans un restaurant. Laissant fièrement entrevoir mes ailes sous mon long manteau noir, je me suis dirigé directement vers le comptoir pour commander quelque chose. Un bout de pain et de la soupe me suffisait. Je n’étais pas un grand mangeur et je me nourrissais que lorsque mon ventre me le demandait. C’est pourquoi j’eu vite terminé avec mon repas que je suis repartie d’où je venais sans dire un mot. Le commerçant qui tenait l’échoppe était humain et il ne méritait pas un « merci » ou un autre signe de politesse. Aucun humain lambda ne méritait que je lui adresse la parole de toute manière. Ils finiront tous exterminés dans les flammes une fois que le peuple des célestes leurs aura repris la Vearth.

Une fois dehors, je m’étais retrouvé devant un sérieux dilemme. Soit je retournais directement à mon bateau et reprenait la mer en direction de l’endroit indiqué par Célestiel. Soit j’en profitais pour faire un petit tour sur l’ile histoire de voir de plus près la beauté de ces lieux. Le deuxième choix apparut comme une évidence et je pris directement la direction de la forêt se trouvant derrière le village. J’aimais la nature, c’était une certitude. Ca fait aussi un certains moment que je n’avais pas pris de moment de détente pur rien que pour moi. J’avais ces derniers temps enchainé les missions, les combats et parfois même les deux. J’étais devenu incollable sur le monde des humains, mais mes recherches sur les tablettes anciennes du siècle perdu pour les déchiffrer ne m’avaient mené nulle part. J’avais même dût affronter cette marine dans ce taudis l’autre jour. J’avais donc le besoin de souffler et vite. C’est pourquoi je prenais la direction de la sortie de la ville, direction la foret pour me trouver un coin tranquille.

Enfin j’allais essayer car ces derniers temps, ma recherche de coin tranquille à l’ abri des regards n’aboutissait généralement jamais. J’étais sûrement frappé par le mauvais sort. Je me retrouvais chaque fois dans une situation bizarre et loufoque ou dans un bordel monstre où mon seul but était de sauver ma vie. Cette-fois-ci je ne voulais pas être dérangé. C’est ainsi que je me suis retrouvé a marcher a travers de quelques cabanes de trappeurs sans y prêter attention. Jusqu’à ce que je remarque les deux affiches de primés accrochés sur l’une d’entre elle. « La lame silencieuse » … Un pirate plutôt sanguinaire puisqu’il valait 1 500 000 berrys. L’autre était sans doute son compagnon de route puisqu’il valait lui 1 200 000 berrys. Bizarre comme nom surnom pour deux hommes assez banals. C’étaient des hommes comme ça qu’il ne fallait pas sous-estimés. Sur les photos des primes ils avaient une tête assoiffés de sang … C’était sûrement des humains sans la moindre pitié. Ils adoraient sûrement le sang, tué et boire de l’alcool. Des hommes qui ne pouvaient pas voir la vraie valeur de la vie et préférait être libre en semant la mort autour d’eux.

Une bien triste vie pour une création de dieu. La punition divine se faisait attendre pour les deux hommes et lorsque je les croiserais, je me ferais une joie de leur montrer que les voix du seigneur sont impénétrables. C’est ainsi que je repris ma route. Mon regard obscur allait et venait au grès du vent. J’essayais de regarder aux alentours, histoire de voir se je n’étais pas suivi. Je restais sur mes gardes jusqu’au moment où je décidais de m’arrêter pour enlever ma longue veste noir et la déposer sur mon épaule. Mes ailes noires se dépliaient alors ce qui créa une légère brise autour de moi. Ces ailes étaient ma fierté. J’étais de ces chérubins qui étaient fier de représenter leur espèce, celle des créatures célestes. Je savais que les personnes comme moi étaient supérieurs aux humains et bientôt nous contrôleront la Vearth. C’est ainsi que je repris ma route, toujours cherchant un endroit où me reposer et piquer un petit somme. Ce que je ne savais pas, c’était que mon chemin allait bientôt croiser celui d’une puissance qu’on pouvait qualifié de divine à sa manière.

Et quelques secondes après j’étais sorti du feuillage épais pour tomber nez à nez avec un homme que j’avais vu quelques minutes auparavant. En effet, sa photo était placardée sur le mur d’une des cabanes de trappeurs. C'était un’ primé … Celui qu’on appelait la lame silencieuse. Il valait à lui seul 1 500 000 berrys … Si j’étais un chasseur de prime, j’aurais eu le sourire. Je suis un chérubin et en tant que tel, je ne pouvais prétendre à la prime sur sa tête. Je pouvais seulement le punir pour ses actes et l’expier de tous ses pêchers. C’est ainsi que j’avais pris ma position de combat, avec mes deux lames en dehors de leurs fourreaux respectifs et mes deux dials accrochés à mes coudes. J’étais prêt à le recevoir. Viens si tu l’oses brigand, je vais purifier ton âme avec ton sang.
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MessageRe: ♠ En tuer un pour en terrifier un millier /w Castiel.     Lun 19 Jan - 0:55
Dans une énième situation, ses sens aiguisés ou du moins ceux disponibles ne l’avaient pas trompés. Une silhouette se dessina dans le paysage maussade, l’une de celles qu’on sait singulière, loin des simples horticulteurs croisés dans la petite ville précédemment. Le feuillage se mut, frissonnant pour au final se séparer en deux entités distinctes et laisser passer une entité. Il ne fut pas difficile d’identifier celui qui approchait d’un pas lent vers lui, de son dos dépassant deux ailes d’un noir corbeau. Il avait déjà vu quelques Célestes lors de son passage sur Grand Line, ces derniers s’étant entichés de la lubie de conquérir ce qu’il ne leur appartenait pas, mais jamais pourvus de cette teinte étrange au niveau de leurs appendices.

Qu’était-il et pourquoi se présentait-il dans son petit coin d’ermitage en dégageant la sensation que ça lui appartenait ? Était-ce un trait commun aux célestes de conjecturer que tout n’était que propriété de leur race ? Hannibal trouva cela enfantin de s’imaginer être possesseur d’un endroit si loin de chez eux. La race ailée n’était pour lui qu’un opposant de plus au Gouvernement qui remplissait parfaitement le rôle d’épouvantail tandis que le vrai danger se faufilait dans l’ombre de leur combat.

Forban de naissance et de nature, se trouver en face d’un potentiel conquérant des mers blanches ne lui arracha pas un seul tressaillement, ainsi que du dédain pour tant de suffisance éprouvée par des personnes se croyant supérieures de naissance. Après tout un peu de duvet et de plumes sur des articulations du dos ne faisaient pas d’un homme une quelconque élite, malgré tout le mal que semblait se donner les membres dotés de cette particularité à y croire.

Le représentant de la caste n’était visiblement pas là pour discuter puisque suite à cette entrée discrète il sembla vouloir se confronter à lui, dégainant deux lames et se plaçant d’une façon qui suggérait le combat pur et simple. Manteau sur l’épaule, il eut tout loisir de notifier deux bosses sur ses coudes, qu’il jugea assez importantes pour ne pas être ignorées. Était-il un utilisateur de ces coquillages des rivages propre à sa patrie ? Il n’y avait aucune surprise à le voir doté de tels atouts, il était l’un d’eux. Subsistait une question rhétorique ; pourquoi s’en prendre à lui puisque sa prime était dispensée par le Gouvernement, l’hypothèse voulant qu’il soit son ennemi naturel. Peut-être voulait-il tester sa force face à une figure connue ou plus simplement, il se prenait pour un justicier croyant arrêter un dangereux psychopathe. Avait-il tort ? Il ne pouvait en juger lui-même, Hannibal n’étant pas un enfant de chœur.

* Faut croire que ces morceaux de papier rapportent que des embrouilles, hun. Moi qui croyait que mon séjour ici serait d’un calme olympien, on dirait que je me suis trompé. *

Attachant à sa bouche l’une de ses sempiternelles cigarettes qu’il alluma rapidement, la pierre de son Zippo frotta la mèche, le bruit se synchronisant avec le râle du métal des sœurs jumelles appartenant au séraphin. S’il était l’allégorie de la main de Dieu, alors sur cette fresque pittoresque Phantøm représentait indubitablement celle de son parfait opposé, celle du Diable. Le pastel du destin fit bien les choses puisqu’à cette idée il laissa apparaître un demi-sourire, amusé par cette représentation d’un combat millénaire. Incarner le mal n’était en soi pas une tare, le divin en son opposant ne résultant pas que dans des actions honorables, il s’en doutait sans même lui avoir adressé un traître mot.

Son nouveau comparse n’avait de fait pas l’air d’un saint au vue de la noirceur émanant de lui. Sans chercher à le juger, une main sur le filtre de sa cigarette, il restait impassible, comme s’il fixait encore le vide. Pourtant il était prêt à combattre à tout instant, alerte. Son regard ombreux immobile sur ce qui semblait un adversaire, Hannibal allait devoir se salir les mains une énième fois. Peu regardant quant aux risques de combattre un ennemi inconnu, il n’en restait pas moins sur ses gardes.

Ce fut le signal. Impartial, il l’affronta comme il l’aurait fait contre n’importe quel épéiste digne de se battre contre lui et ne sortit pas son couteau papillon pour l’humilier, préférant la contre-attaque de poids en posant la main sur la garde noire et violacée du trésor de Wano. Si l’adversité devait périr sur le domaine d’Arès, il lui ferait au moins part de la majestuosité du tranchant de son Meitou. Après un échange lame contre lame, il put vite lire qu’il n’était pas de son niveau dans l’art du Kenjutsu en lui-même, bien que ses choses sur ses coudes semblèrent servir au combat. Il pouffa donc et d’un bond agile, s’écarta d’une bonne quinzaine de mètres.

Regardant le soleil pour avoir une idée précise de l’heure, il sut que la nuit tomberait bientôt. Plus que de s’infliger la correction d’un angelot fugace, il lui tourna le dos et prit la route du village, le pas lent et nerveux à la fois, prêt à faire volte-face. La bouteille toujours à la main, il la laissa s’échapper et éclater en une myriade d’éclats de verre, peu effrayé par le spécimen.

S’il venait à l’assaillir encore, le bretteur saurait se montrer bien plus explicite sur sa façon de voir les choses, quitte à tailler dans le muscle des instructions millénaires, dispensées depuis bien longtemps avant leurs naissances. Jamais le Yaken n’hésitait, c’était la partie de son psyché qui l’avait fait se balancer au gré du vent entre tous ces avares et ces mécréants. Dorénavant, il suivait un chef dans un but véritable, et non pour cause d’une laisse. Son poids allait bientôt être pleinement évalué par le Gouvernement qui comprendrait sans mal le danger des Burning. Si les Célestes souhaitaient connaître la vaillante chaleur de l’équipage, ils subiraient le même sort qu’Icare, perdant appui dans leur réalité fantasmée pour connaître à leur tour les ténèbres dans une chute lente et douloureuse. C’est ce qu’était Feng, un soleil et une aube nouvelle sur une ère vieillotte ne se rendant pas compte des talents émergents partout, dans chaque faction. Hannibal serait la lame ouvrant la voie à ce dernier, il en était sûr.

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Vu son manque de réaction et son style faiblard, Hannibal mit simplement les voiles assez vite pour ne pas être suivi, laissant seul l'ailé et ses motivations baroques.
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